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Les acheteurs, surtout étrangers, étaient prêts à payer une marge qui permettait à l'opération d'être en plus profitable.

Par la suite, sur le second marché, de nombreux facteurs allaient faire varier le prix ce ces séries :

 

_ L'attrait pour le pays émetteur, les dessins, la qualité de la gravure des coins, le soin apporté à la frappe, le tirage.

 

_ La valeur métallique qui au départ était assez facile à déterminer quand une once d'Or valait 35 $. Mais quand cette parité bougea (de 35 à 38 puis de 38 à 42 $) et finit par disparaître pour laisser place à un cours de l'Or changeant chaque jour, ce calcul était à refaire avant chaque transaction.

 

* Cette mode d'émettre une série en métal précieux pour fêter l'indépendance d'un pays ou le règne de son dirigeant s'estompa au début des années 70.

Les monnaies commémoratives continuèrent sous une autre forme : Pour célébrer un événement, mettre en valeur le patrimoine national ou des personnages célèbres, on prit l’habitude d'utiliser le module et la faciale d'une monnaie courante pour frapper un motif qui ne serait émis qu'une année et circulerait parallèlement au type classique du même millésime.

Pour les collectionneurs ne se satisfaisant pas des seuls exemplaires commémoratifs dans le métal de circulation (fussent-ils en frappe Fleur de Coin ou BU), d'autres en Or furent proposés.

Le soin apporté permet de magnifier le dessin. On s'en rend compte aisément en posant côte à côte par exemple une 10 Francs en cupro-nickel et une proof en Or.

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